La nature nous a doté de deux oreilles, et c’est un merveilleux cadeau qui nous permet de localiser l’origine des sons qui nous entourent. Quand on reproduit de la musique, il est également intéressant de pouvoir situer les instruments dans l’espace afin de visualiser la scène, et d’augmenter la lisibilité d’une partition complexe.
Nos chaînes sont généralement composées de deux enceintes.
Pourquoi ?
Si les deux enceintes reproduisent le même son à niveau égal,
vous avez la sensation que ce son sort du milieu de la pièce, entre les 2 enceintes, une petite variation de la balance vous donnera l’impression que l’objet sonore se déplace vers le côté qui joue le plus fort.
C’est en jouant de cet équilibre (au placement des micros lors de l’enregistrement, ou ensuite au mixage) que l’on créé une scène sonore latéralement. La répartition gauche-droite est connue et maitrisée depuis presque un siècle, par contre c’est plus tardivement, avec le progrès de la restitution sonore, qu’il a été possible de distinguer des micro-informations subtiles comme les premières réflexions et la réverbération, qui nous permettent de situer les objets sonores dans la profondeur et de ressentir la taille de l’espace de prise de son (studio, église, plein air ?).
Enfin, plus nos systèmes sont devenus précis et performants et plus nous avons pu reconstituer la troisième dimension : la hauteur ! Difficile à croire et pourtant ceux qui ont déjà entendu nos installations en démo savent que dans certains cas, on différencie par exemple un chanteur assis d’un chanteur debout, une percussion au sol d 'une percussion suspendue... On a déjà remarqué sur des enregistrements naturalistes que le paysage sonore se dessine en profondeur et en hauteur, de la terre jusqu’au ciel. Pour résumer, avec deux enceintes, on a déjà tout !
Cependant, certains passionnés de cinéma et de sensations fortes se sont concocté des systèmes surround d’enceintes KF, on vous laisse imaginer à quel point ça décoiffe.
C’est en jouant de cet équilibre (au placement des micros lors de l’enregistrement, ou ensuite au mixage) que l’on créé une scène sonore latéralement. La répartition gauche-droite est connue et maitrisée depuis presque un siècle, par contre c’est plus tardivement, avec le progrès de la restitution sonore, qu’il a été possible de distinguer des micro-informations subtiles comme les premières réflexions et la réverbération, qui nous permettent de situer les objets sonores dans la profondeur et de ressentir la taille de l’espace de prise de son (studio, église, plein air ?).
Enfin, plus nos systèmes sont devenus précis et performants et plus nous avons pu reconstituer la troisième dimension : la hauteur ! Difficile à croire et pourtant ceux qui ont déjà entendu nos installations en démo savent que dans certains cas, on différencie par exemple un chanteur assis d’un chanteur debout, une percussion au sol d 'une percussion suspendue... On a déjà remarqué sur des enregistrements naturalistes que le paysage sonore se dessine en profondeur et en hauteur, de la terre jusqu’au ciel. Pour résumer, avec deux enceintes, on a déjà tout !
Cependant, certains passionnés de cinéma et de sensations fortes se sont concocté des systèmes surround d’enceintes KF, on vous laisse imaginer à quel point ça décoiffe.